Coup de projecteur sur MOUNIKA. qui nous offre une parenthèse de douceur et tendresse en cette froide journée.

 

 

À maintenant 23 ans, le beat maker poitevin MOUNIKA. Alias Jules Verschueren se présente comme un artiste de sampling inspiré par quelques monstres de la production comme : d’Al’Tarba, Wax Taylor ou même Chinese Man.

MOUNIKA. propose des productions enivrantes sur lesquelles se posent quelques phrases chinées dans les méandres d’internet, on y retrouve souvent les voix de Marie Laforet ou bien Mireille Mathieu.

MOUNIKA. dessine pour nous un monde valsant dont les images sont comme des polaroids qui s’assombrissent et se dévoile petit à petit, nous laissant une histoire ayant effacé le monde autour, sur une imperturbable impression de flottement.

Voilà 4 ans qu’il a sorti son premier EP et il pose sa marque exposant des sons allant d’un jazz smooth passant par du trip hop et continuant sa course vers des sons plus latins et langoureux. Le tout accompagné du doux craquement des vinyles nostalgiques d’une époque révolue.

Aujourd’hui, la discographie de l’artiste se complète et comptabilise 10 EP. Il est très difficile de réduire son écoute a cette sélection de quelque tracks, mais pour finir ce portait, voici MOUNIKA. en 3 morceaux :

Mounika. – Cut My Hair (feat. Cavetown)

Mounika. – Other Woman

 

Mounika. – YouMayWithoutMe