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Depuis décembre le Cabaret Aléatoire s’enflamme certains vendredi soir ; le temps des soirées LAB ! C’était le cas vendredi dernier avec la venue de Levon Vincent. Pour cette deuxième édition les organisateurs ont encore eu du flair en ramenant le DJ texan, fondateur du label Novel Sound ! Il faut dire que la première édition avait placé la barre haute, mais celle-ci aura tenu toutes ses promesses !
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C’est toujours avec une certaine excitation que nous faisons ce trajet qui sépare la gare de la Friche de Belle Mai. Et une fois arrivé pas le temps de souffler, Levon Vincent sévissait déjà depuis quelques minutes. Le temps de poser le blouson et d’agripper une bière, nous étions devant pour le voir opérer de plus près.
Le disc-jockey américain nous a servi généreusement de grosses rations de techno, avec parfois quelques sonorités inattendues mais appréciables.
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Bref retour sur la carrière de l’artiste, il réalise ses faits d’armes sur la côte Est des Etats Unis, puis fonde dans les années 2000 le label More Music NY sur lequel il sort son premier EP, No More Hero, suivi de cinq autres.Il fonde ensuite en 2008 son nouveau label Novel Sound. Il a joué dans bons nombres de clubs prestigieux, entre autres, le fameux Berghain de Berlin.
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On vous laisse vous faire une idée du bonhomme avec cette Boiler Room bien éxcitée !

Il nous régalera bientôt avec son premier album : Self Title. Sans aucun doute il sera chroniqué par notre équipe, qui s’était déplacée en masse pour la LAB #1 et ne voyait aucune raison de louper la deuxième.
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Une fois son set fini, c’est le jeune Abstraxion qui prend le relai. Et le public n’a pas été en reste face à ce que le marseillais a proposé. Comme pour la première édition où il avait débuté la soirée avant John Talabot, Abstraxion fait résonner ses grosses productions entre les quatre murs du Cabaret. Son final, quasi théatral aura fait trembler une dernière fois les amateurs présents.

Clairement ces soirées laboratoires sont devenues des rendez-vous qu’on ne saurait louper. On y apprécie la bonne humeur qui y règne ainsi que la place dont on dispose dans la salle, contrairement à d’autres soirées à la Friche.
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On ne peut que rêver du prochain gros nom qui sera écrit sur l’affiche de la #3 !