L’Insane Festival n’a pas failli à sa réputation : des heures de sons, un public déchainé, des visuels de fou furieux, 6 scènes et une quarantaine d’artistes. Tous se sont retrouvés, ce week-end, en plein cœur de Toulouse.

Pour sa 3ème édition et sa première dans la ville rose, l’ambiance était au rendez-vous au Parc des Expositions de la ville. Les places sont parties à une allure folle et les festivaliers étaient nombreux à taper du pied devant les caissons de basses.

 

 

 

Ce festival avait été sacré meilleur nouveau festival en 2015 par les votants du concours Festival Awards. Cette fois si, le festival voit les choses encore plus grand avec plus d’artistes et plus de scènes.

 

 

 

Le festival se découpait comme ceci :

On retrouve l’incontournable scène World Trance avec, notamment, le duo psychédélique Vini Vici et leurs musiques qui nous transportent dans un autre univers.

La Pandemic stage avec Dr.Peacock et le Bask (pour la 3ème année consécutive) ou encore Angerfist. Une sacré bande qui n’a pas fini de nous faire taper du pied.

La Bass Stage avec Dirtyphonics.

La Warehouse stage avec Stephan Bodzin ou encore Rødhåd.

La scène live, dont le coup d’envoi est lancé à 16h, avec l’empereur du sale, Lorenzo et le retour en grand pompe du rappeur from MTP : Joke. Tous deux kickent sale et ambiancent la foule déjà bouillante !

Sans oublier le Camion Bazar, devenu mythique au fur et à mesure des éditions.

L’ambiance était également au rendez-vous grâce à l’impressionnant jeu de lumières, effets visuels et constructions dans lesquels se nichent les DJs. Adepte de l’Insane, vous avez pu retrouver les visuels impressionnants qu’on lui connait et dont on ne se lasse pas.

Nous n’avons pas pu assister à la performance de Vini Vici, à notre grand regret après avoir écouté « Great Spirit » pendant tout le trajet, suite a un changement de dernières minutes sur la World Trance scène.

Mais on ne s’arrête pas à ça.

Comah était,  comme à son habitude, transporté derrière ses platines et a pu nous faire vibrer sur ses dernières sorties, à notre grand plaisir. Ce n’est pas la première fois que je le vois en live et pourtant, c’est toujours aussi bon. Cohérence, musicalité … tout est millimétré pour nous faire kiffer notre soirée !

Mais ce n’est pas le seul à mettre le feu derrière les platines.

Angerfist, qui est l’un des plus célèbre Dj de hardcore moderne n’a pas joué de la musique douce. Comme à son habitude, il a balancé ses kicks de tueurs, derrière ses platines le visage caché derrière son masque. Les gens aiment ce style de musique dure et ça se ressent.

Nous avons pu encore une fois assister à une performance exceptionnelle du duo mythique formait par Le Bask et Dr.Peacock. Ils n’ont pas fini de nous faire sauter partout, devenir fou et en redemander.

A 03h, l’ambiance bat son plein sur la Pandemic stage avec Dirtyphonics, le public est en trans et nous aussi. Ça danse de partout, même à 03h de la fin. La fatigue est bien bien loin.

 

 

Nous avons fini sur la World Trance scène où s’étaient rejoints Avalon et Tristan pour un set de folie devant un public qui ne voulait plus s’arrêter.

On ne peut pas s’arrêter de danser et sauter partout quand on n’entend ces deux-là, et quand ils sont réunis, ça en devient indescriptible. Notre corps ne répond plus.

 

 

 

A 6h du matin, les lumières se sont rallumés. Fin d’un rêve et départ en after pour certains.

Une soirée incroyable comme on en veut, vivement l’an prochain.

 

Merci à toute l’équipe de l’Insane Festival ainsi que tous les artistes programmés qui ont su faire de cet événement, une soirée mémorable.