On ne présente plus ce groupe français composé de 3 membres : Crazy B, Little Mike et DJ Need. Révélation électronique/dance de l’année 2010 aux Victoires de la musique, mais aussi lauréat du titre de champion du monde de DJ en équipe en 2002 au concours DMC, ils ne cessent de s’imposer par leur style électro tinté de hip hop, jazz et groove. Leur dernier album Dance or Die composé d’une quinzaine de tracks sortira début 2016 piochant dans le Technotronic et le trap/rap. En pleine tournée française, nous avons eu la chance d’applaudir Birdy Nam Nam ce vendredi 22 janvier 2016 au Cabaret Aléatoire à Marseille.

Crédit :La Nuit Magazine http://lanuitmagazine.com/

Il est 20h15 les gens commencent à se rassembler devant la scène pour la première partie. Et c’est Dogg Master, DJ grenoblois qui assure la première partie de Birdy Nam Nam pendant leur tournée dans toute la France, qui se charge de chauffer la salle. Le public se laisse séduire par ses sons électro aux inspirations funk, soul et hip-hop et l’ambiance est à son comble.

Crédit : La Nuit Magazine http://lanuitmagazine.com/

21h45 : Dogg Master se retire de la scène, c’est l’heure d’aller chercher sa pinte et d’aller fumer une cigarette en attendant que Birdy Nam Nam vienne enflammer la salle.

22h15 : Birdy Nam Nam arrive sur scène. L’ambiance amenée par Dogg Master n’a pas eu le temps de retomber, la foule est prête à en découdre avec les rythmes trip hop, groove, et hip hop de leurs platines. Mélangeant anciens titres comme The parachute Ending, Defiant order et titres de leur nouvel album Dance or die, le trio infernal a fait danser la salle sans répit.

Crédit :La Nuit Magazine http://lanuitmagazine.com/

Vers 23h Dogg Master refait une apparition sur scène pour offrir un mix avec Birdy Nam Nam, sur lequel il posait sa voix sur des sons électro. Ces quinzes minutes ont apportées un élan de fraîcheur permettant aux gens de se reposer et de repartir de plus belle sur des sons plus puissants.

Ils finiront en beauté à 23h45 avec leur plus célèbre titre, Abesses, acclamé par un public hétéroclite ce qui résulte d’une visibilité certaine depuis plus d’une dizaine d’années maintenant.